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Vos opinions

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6 commentaires sur “Vos opinions”

  1. Bonjour, ceci est un commentaire.
    Ce commentaire a été modéré par l’administrateur du site. Merci de votre courtoisie

  2. Proposer à chaque lecteur du site que son adresse mail sera utilisée par le courrier mail du quartier en adresse cachée.

  3. Bonjour, La proposition de nouveau sens de circulation présenté n’est pas en adéquation avec les infrastructures routières de la rue du Champ de Tir, et notamment avec le nouveau chantier de promotion immobiliere de la rue de l Yser. Lé sécurité des riverains est en jeu.
    Mettre le bord de mer en sens unique revient à pénaliser les riverains . Il s’agirair plutôt de limiter la vitesse pour justement éviter les personnes de l exterieur d’être tenté de passer par cette route

  4. Les habitants de la rue de Verdun sont déjà pénalisés (pas de bus) et la proposition du nouveau sens de circulation ne ferait que les enclaver un peu plus. La concertation est la moindre des choses avant de prendre des décisions aussi importante.

  5. Sujet d’une explication du nom des rues du quartier possible :

    Qui était le Commandant LISIAK ?

    Eugène LISIAK, un militaire est mobilisé en 1914. Plusieurs fois médaillé, il est gazé et grièvement blessé en 1918. Rappelé après sa retraite en 1938, il se liera à de nombreux officiers qui n’acceptent ni la défaite, ni l’occupation.

    Dès l’été 1940, il forme avec notamment Edmond Grasset le groupe Centurie, dépendant de l’Organisation Civile et Militaire de la résistance. Mutilé de guerre, il bénéficie de facilité pour se déplacer par le train. Il se rend à Paris tous les 15 jours pour transmettre à Londres les plans du mur de l’atlantique et de la base de sous marins. Promu commandant puis lieutenant colonel, il dirige la résistance sur tout le secteur nord ouest du département, créant des dépôts pour les armes parachutées, un petit maquis de transition et assurant une instruction militaire clandestine aux recrues.
    Arrêté le 1er août 1943, torturé à la prison de Lafond, il sera jugé par le tribunal militaire allemand de la Rochelle, transféré au fort du Hâ à Bordeaux et fusillé avec 19 de ses compagnons d’Honneur et Patrie le 11 janvier 1944.

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